Lorsque Christiane et Richard divorcent, le 11 mai 1992, le juge alloue à l’ex-épouse une prestation compensatoire sous la forme d’une rente viagère mensuelle de 10 000 francs (1524,49 euros).
En vertu d’un protocole d’accord conclu le 16 octobre 1995, les ex-époux partagent la communauté des biens ayant existé entre eux, et Christiane accepte une diminution de moitié de la rente  (5 000 francs, soit 762,24 euros) .

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